- Caroline Méot
- Adrien Mével
- Aude de Mézerac Zanetti
- Morgane Mignon
- Sofia Papastamkou
- Gwenaëlle Patat
- Blandine Perona
- Arthur Perret
- Guillaume Porte
- Stéphane Pouyllau
- Anne Réach-Ngô
- Célian Ringwald
- Aurélia Rostaing
- Hugo Scheithauer
- Antoine Silvestre de Sacy
- Eva Soroli
- Olivier Spina
- Karolina Suchecka
- Alyx Taounza-Jeminet
- Laurent Tessier
- Nicolas Thély
- Philippe Useille
- Pierre Verschueren
- Régis Witz
- Serge Wolikow
Diplômée en 2019 du Master « Technologies numériques appliquée à l’Histoire » de l’Ecole nationale des Chartes, Caroline Méot travaille depuis janvier 2020 au Service historique de la Défense comme chargée de valorisation numérique au Bureau de la transformation numérique.
Adrien Mével est étudiant en Master "Édition numérique et imprimée de textes littéraires" à l'université de Lille. Il participe au projet RePPOL pour lequel il est en charge de proposer un schéma d'encodage adapté aux besoins scientifiques de l'équipe.
Aude de Mézerac-Zanetti a soutenu une thèse en cotutelle (Paris 3 / Durham University) sur les changements liturgiques sous le règne d'Henri VIII. Elle s'intéresse aux pratiques religieuses catholiques et protestantes sous les Tudors.
Depuis 2020, elle co-anime le projet de recherche RePPOL, Rethinking the Prebendaries Plot On Line avec Olivier Spina (Lyon 2).
Morgane Mignon est coordinatrice de la plateforme Humanités numériques de la Maison des sciences de l’homme en Bretagne. Ses missions consistent à conseiller et accompagner les chercheur·ses des 40 unités SHS de la région Bretagne dans la gestion de leurs données de recherche et la réalisation de projets en humanités numériques. Elle fait partie du réseau de correspondant·es pour l’IR* Huma-Num.
Après avoir été ingénieure d’études CNRS à la Maison Européenne des Sciences de l’Homme et de la Société puis au sein du laboratoire IRHiS (Université de Lille) Sofia Papastamkou est désormais chercheuse postdoctorale en histoire numérique au C2DH (Université du Luxembourg). Elle est également rédactrice au sein de l'équipe du Programming Historian en français.
Gwenaëlle Patat est chargée d'édition de corpus numériques à la Maison des Sciences de l'Homme en Bretagne. Ses missions consistent à conseiller et accompagner les projets d'édition numériques du territoire breton, tant d'un point de vue méthodologique que technique. Elle fait partie du réseau de correspondant·es pour l’IR* Huma-Num. Elle anime dans ce cadre un groupe de travail visant à établir des recommandations et à développer une plateforme afin de faciliter le dépôt de corpus en XML-TEI dans l'entrepôt de données Nakala. Elle est également rédactrice au sein de l'équipe du Programming Historian en français.
Blandine Perona est maîtresse de conférences en langue et littérature françaises à l’université Polytechnique Hauts-de-France depuis 2011 et membre junior de l’Institut Universitaire de France (2021-2026). Ses recherches proposent un parcours de la littérature néo-latine à la littérature française, et notamment d’Érasme à Montaigne.
Arthur Perret est doctorant en sciences de l'information et de la communication à l'Université Bordeaux Montaigne. Il travaille sur les données, documents et dispositifs impliqués dans les processus d’écriture, de documentation et d’édition. Sa thèse porte sur l’héritage épistémologique de Paul Otlet.
Guillaume Porte est ingénieur d'études au laboratoire ARCHE UR3 400 (Université de Strasbourg) où il travaille sur l'élaboration de bases de données et d'éditions structurées autour de données historiques.
Ingénieur de recherche au CNRS, Stéphane Pouyllau est spécialisé depuis 1999 dans les domaines des humanités numériques, de l’informatisation des données de la recherche en sciences humaines et sociales et en information scientifique et technique. En 2013, il a cofondé la TGIR Huma-Num avec Marc Renneville. Il est actuellement directeur adjoint d’Huma-Num en charge du HN Lab. Il a reçu en 2009, le Cristal du CNRS. L’ensemble de sa production scientifique et technique est disponible en libre accès sur ISIDORE.
Anne Réach-Ngô est maîtresse de conférences à l'université de Haute-Alsace, où elle co-anime notamment le projet EVEIlle (Exploration et Valorisation Electroniques de corpus en SHS). Spécialiste des pratiques de compilation et de remise en circulation des écrits hérités au XVIe siècle, elle s'intéresse aux dispositifs de médiation des écrits à la Renaissance et aujourd'hui.
Ingénieur de recherche au sein de l'équipe Wimmics de L'Inria Sophia-Antipolis, Célian Ringwald est en charge du chapitre francophone de DBpédia. Il contribue au projet Programming Historian en tant qu'éditeur.
Aurélia Rostaing est conservatrice en chef du patrimoine, responsable, depuis 2016, du pôle instruments de recherche au département du Minutier central des notaires de Paris (Archives nationales), initiatrice et coordinatrice métier du projet LectAuRep.
Hugo Scheithauer est ingénieur recherche & développement dans l'équipe ALMAnaCH, Inria et possède un master "technologies numériques appliquées à l'histoire" de l'Ecole nationale des chartes. Il travaille à la production de modèles de segmentation pour le projet DataCatalogue, conjointement mené par Inria, la BnF et l’INHA.
Antoine Silvestre de Sacy est diplômé de master en philosophie et en humanités numériques. Il est ingénieur contractuel au CNRS au laboratoire Huma-Num (UAR 3598), rattaché au BnF DataLab. Il poursuit en parallèle une thèse en littérature et en humanités numériques portant sur le succès littéraire des œuvres et la constitution du jugement esthétique.
Eva Soroli est maître de conférences à l’Université de Lille, affiliée à l’UMR 8163, et ambassadrice de l’Infrastructure Européenne CLARIN. Elle est membre du comité scientifique du Centre de Connaissances CORLI d’HumaNum, et membre du Comité National de la section 34-Sciences du Langage et de la Commission Interdisciplinaire 55-Science & Données du CNRS.
Maître de conférences en histoire moderne, Université Lumière Lyon 2, LARHRA.
Auteur d’une thèse d’histoire sociale et politique portant sur les spectacles à Londres au XVIe siècle, il travaille actuellement sur le contrôle de la parole politico-religieuse des sujets par l’État royal anglais dans le contexte de la réformation d’Henri VIII (1530-1547). Depuis 2020, il co-anime le projet d’humanités numériques RePPOL (Rethinking Prenbendaries Plot on Line) avec Aude de Mézerac-Zanetti.
Karolina Suchecka est doctorante contractuelle en littérature comparée à l'Université de Lille, travaillant sur la réécriture et l’édition intermédiale en explorant les possibilités des outils informatiques et de traitement automatique des langues. Engagée dans le projet ANR Phoebus e-Balzac depuis 2017, elle est chargée de l’informatique éditoriale, de la pérennisation et de l'ouverture des données et du développement de l'axe hypertexte du projet, qui vise à mettre en résonance, à l'aide des méthodes informatiques et numériques, l'ensemble de l'œuvre balzacienne avec un corpus d'écrits contemporains qui ont pu la nourrir.
Alyx Taounza-Jeminet est ingénieure d’études au sein du SERVAL à la BIS. Elle a un Master en Histoire de l’Art de l’École du Louvre et un Master en Technologies Numériques Appliquées à l’Histoire de l’École des Chartes. Elle a participé au projet CollEx-Persée « RefDivinités » et à la gestion de la bibliothèque numérique NuBIS.
Laurent Tessier est professeur de sociologie à l'Institut Catholique de Paris. Ses recherches portent sur l'éducation au numérique à l'école et l'université. Il co-dirige le Consortium Huma-Num CANEVAS (Consortium pour l’ANnotation, l’analyse Et l’archive de la Vidéo appliquées aux Activités Scientifiques) et a récemment co-dirigé le numéro 5 (2022) de la revue Humanités numériques : "enseigner et apprendre les humanités numériques".
Professeur des universités en esthétique et philosophie de l'art à l'université Rennes 2, il est directeur de la MSHB à Rennes et membre du directoire du RnMSH. Ses thèmes de recherche sont les suivants : art contemporain, pratiques émergentes, algorithme et robotique ; analyse du discours de la critique d'art (fin XXe-début XXIe) ; méthodes et outils numériques de recherche en art, esthétique et design.
Philippe Useille est maître de conférences en sciences de l’information et de la communication au LaRSH (Laboratoire de Recherche Sociétés & Humanités) à l’Université Polytechnique Hauts-de-France. Il est référent scientifique de l'axe humanités numériques de la MESHS. Ses recherches sont consacrées aux formes et aux écritures émergentes de l’information médiatique.
Pierre Verschueren est maître de conférences en histoire contemporaine à l'université de Franche-Comté (Centre Lucien Febvre), chercheur associé à l'IHMC (UMR 8066) et au Collège de France (Sociologie du travail créateur). Ses travaux se placent à l'intersection de l'histoire des savoirs et de l'histoire de l'enseignement supérieur, en dialogue étroit avec la sociologie et l'histoire des professions.
Ingénieur informaticien, spécialiste des bases de données et Régis Witz est ingénieur d’études à la Maison Interuniversitaire des Sciences de l’Homme – Alsace au sein de la Plateforme Humanités Numériques (PHUN), un service de soutien à la recherche autour des données qualitatives en Sciences Humaines.
Professeur émérite de l’université de Bourgogne, historien de l’ère contemporaine, il a été directeur de la MSH Dijon (2002 - 2012) et ancien président du RnMSH (2005 - 2010). Ses thématiques de recherche portent sur l’histoire des organisations politiques socialistes et communistes de la période d’entre-deux-guerres et sur l’histoire des archives du XXe siècle (archives du communisme, des organisations politiques, du vin et du monde viticole, ainsi que de la recherche en sciences humaines et sociales). Il est chargé de mission du RnMSH et accompagne l’équipe et la direction dans la réflexion intellectuelle et dans la structuration des réseaux des plateformes technologiques depuis 10 ans.
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